En Bulgarie, Rouja Lazarova fait partie d’une génération d’écrivains, tels Alek Popov ou Georgui Gospodinov, la dernière du communisme, la première de la liberté, écartelée entre le passé totalitaire et la modernité.

Elle retrouve ses lecteurs bulgares avec la traduction de Cœurs croisés en 2002 et, surtout, avec celle de Mausolée.

Sorti en octobre 2009, le roman est accueilli avec un mélange de suspicion et d’enthousiasme dans ce pays où la mémoire chemine péniblement, toujours scindée en deux, celle des communistes et celle des autres.

A l’occasion de la commémoration des vingt ans de la chute du Mur, elle est invitée par l’ambassade de France et l’Institut français de Sofia pour présenter son roman. Une semaine de rencontres passionnantes avec des étudiants et des lycéens, un marathon médiatique.

Dorothée Werner, journaliste de ELLE, a suivi l’auteur, et écrit un reportage sur la génération née après la chute du Mur.

 

 

À lire:
  • http://www.azcheta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=627:2009-10-22-20-09-30&catid=1:2009-06-14-14-14-05&Itemid=24
  • http://www.kultura.bg/bg/article/view/16128
  • http://www.24chasa.bg/Article.asp?ArticleId=252907
  • Bella, mensuel féminin, mai 2007
  • Edno, mensuel culturel, juillet 2004
  • Za Jenata, mensuel féminin, octobre 2003
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    À écouter:

  • Deutsche Welle, Mausolée, interview de Vladislav Nikolov, le 26 mars 2009
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